Selon ses organisateurs, la course la plus difficile au monde.
Possible, mais il est sûr que 217km dans le désert et sous la chaleur accablante de Death Valley n'est pas chose facile. Oui mais, les paysages, les lumières, le role de l'assistance, tout ceci en fait une course atypique, hors normes...
Badwater 2010 : le film de notre course
- Détails
- Créé le dimanche 29 juillet 2012 14:39
- Écrit par Vincent Toumazou
Nous avons eu la chance d'avoir avec nous Pascal David dans l'équipe Badwater 2010. Pascal a ramené de cette course et des 10 jours du voyages des heures d'images dont il a extrait ce joli petit film de 13 minutes.
Un film fait dans l'esprit particatif de toute l'aventure. Du matériel de prise de vue prêté par Thierry Gentet de Mira Productions, des musiques concoctées et offertes par HelmutR et Oncle Jack, bref, l'éclate de A à Z...
Après tout ce temps, c'est toujours beaucoup d'émotion(s) pour nous à regarder ces images. Ca rappelle forcément de belles choses, parfois difficiles comme sur la seconde journée. A ne pas rater, les nombreux arrêts pour les soins du corps et de l'âme avec Nathalie et Philippe et surtout après 3'55 de film, la véritable escroquerie de notre aventure, les paroles de Philippe "Profite du petit air frais!..." Tu parles, il faisait alors une chaleur à mourir et seul un air brûlant traversait le paysage...
Badwater 2010 : Récit brûlant d’un bling-bling finisher…
- Détails
- Créé le jeudi 29 juillet 2010 16:21
- Écrit par Vincent Toumazou
Cela aurait pu être une histoire sportive. Cela aurait pu être une performance physique. Cela avait l’apparence d’un projet sportif : trois ans de préparation pour la course réputée la plus dure au monde sur route, 217km avec la Death Valley, 4000m de dénivelé cumulé et 50°C à l’ombre.
Ce fut bien plus que ça. Un projet de vie, un groupe qui partage l’aventure avec des collégiens, des amis, des proches, avec l’Association Fanette. Au final la road movie californienne de gamins turbulents tous quadra ou quinquagénaires. Un voyage vers un essentiel qui ne fait pas oublier qu’il n’est pas l’essentiel mais qui laisse penser qu’il y aura eu un avant différent de l’après et surtout un pendant de grande saveur…